Sciences humaines 2016-2018
Michèle Duchet , Anthropologie et histoire au siècle des Lumières
Henri Lefebvre, Le droit à la ville
Nicole Loraux, Les enfants d'Athéna
Par Arthur Caillé, Florence Perrin, Jean-Michel Consil
France met. & monde : 3€ jusqu'à 25€, 6€ jusqu'à 50€, 9€ jusqu'à 100€, 12€ au-delà 100€ DOM-TOM : 8€
Clefs concours Khâgnes - Sciences Humaines
Tous les titres sont organisés autour d’une structure commune :
- des Repères : pour comprendre les enjeux de l'oeuvre dans son contexte.
- des Problématiques posent des jalons pour une critique personnelle.
- des Outils définissent les mots et donnent les références indispensables à la lecture.
Fiche technique
- Référence
- 460351
- ISBN
- 9782350303512
- Hauteur :
- 17,8 cm
- Largeur :
- 12 cm
- Nombre de pages :
- 192
- Reliure :
- broché
- Format :
- poche
INTRODUCTION
Henri Lefebvre, Le droit à la ville
Introduction
Repères
Problématiques
Outils
Michèle Duchet, Anthropologie et histoire au siècle des Lumières
Introduction
Repères
Problématiques
Outils
Nicole Loraux, Les enfants d'Athéna
Introduction
Repères
Problématiques
Outils
Arthur Caillé est agrégé de Philosophie.
Florence Perrin est professeur agrégée et docteur en Philosophie.
Jean-Michel Consil est professeur agrégé à l'université d'Evry-Val-d'Essonne.
(Début de la partie sur Anthropologie et histoire au siècle des Lumières)
L’anthropologie est, au sens contemporain, l’étude de l’homme sous ses aspects physiques et culturels. Elle constitue une discipline à vocation scientifique dotée de protocoles méthodologiques qui lui permettent de prétendre à une certaine objectivité dans ses résultats. Néanmoins, aucune science ne surgit ex nihilo, et sa naissance répond souvent à des impératifs, tant spéculatifs que pratiques, qui en disent long sur le rôle qu’elle sera amenée à jouer. L’anthropologie, initialement dévolue à l’observation des sociétés sauvages, n’échappe pas à cette règle. Aussi M. Duchet se propose-t-elle d’éclaircir les conditions de son émergence dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Dans ce but, il faut garder à l’esprit “qu’en dépit d’une objectivité apparente, il n’y a pas de source “neutre”, parce qu’il y a une “impossibilité de décrire l’homme sauvage comme une espèce animale quelconque, en faisant abstraction de tout ce qui le lie et l’oppose à l’homme civilisé, dans l’ordre de la nature et dans celui de l’histoire”