Zola La Fortune des Rougon
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  • Zola La Fortune des Rougon

Zola, La Fortune des Rougon

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La Fortune des Rougon

Contributions de Éléonore Reverzy et Florence Pellegrini

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Et en lettre suivie pour la France métropolitaine !

Clefs concours Lettres
Tous les titres sont organisés autour d’une structure commune :
- des repères : un rappel du contexte historique et littéraire ;
- les grandes “problématiques”, indispensables à la compréhension des enjeux de l'œuvre ;
- le “travail du texte” consacré aux questions de langue, de stylistique et de grammaire ;
- des outils méthodologiques, notamment bibliographiques ;
- un système de circulation entre les fiches et les références bibliographiques.

Fiche technique

Référence
460340
ISBN
9782350303406
Hauteur :
17,8
Largeur :
12 cm
Nombre de pages :
288
Date de disponibilité : (ne pas remplir)
21/10/2015

INTRODUCTION

REPÈRES

Le livre d'un jeune romancier
Genèses des "origines"
Mosaîque des genres

PROBLÉMATIQUES

La fortune des rougon : un roman du temps
Espace des "origines"
Le 'discours du roman'

OUVERTURES

Une histoire de famille
Un conte
Doubles
Communication et secret

LE TRAVAIL DU TEXTE

Lexicologie
Morphosyntaxe
Commentaire stylistique

OUTILS

Repères biographiques
Bibliographie
Glossaire

 

Éléonore Reverzy est professeur de littérature française à du XIXe siècle à l'université Paris III - Sorbonne nouvelle.

Florence Pellegrini est maître de conférences en langue et stylistique françaises à l'université Bordeaux Montaigne.

"La Fortune des Rougon est le premier volume des Rougon-Macquart et obéit à ce titre à un cahier des charges particulièrement lourd : sous-titré “Les Origines”, le roman doit en effet tout à la fois lancer la série et présenter la famille dont le cycle retracera la geste, et les inscrire dans le récit du coup d'État de Louis-Napoléon Bonaparte, futur Napoléon III, le 2 décembre 1851. Roman d'une famille et roman d'une période, La Fortune des Rougon doit poser d'emblée la jonction du familial et de l'historique, en tête d'un cycle qui se veut une “Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire”. Cette double orientation singulière et collective, privée et publique recouvre diverses directions que le récit doit tenir ensemble : celle de la petite et de la grande histoire, celle de l'action provinciale (l'insurrection du Var) et parisienne (les journées qui suivent le 2 décembre 1851), celle de l'hérédité et de la filiation, celle des débuts d'un régime."