Le Spleen de Paris, Baudelaire
Par Violaine Boneu et Sandrine Bédouret-Larraburu
En lettre suivie
S'adressant à tous les candidats aux concours, en particulier Agrégation et CAPES, Clefs-concours offre une synhtèse par sujet. Conçu comme un repère par rapport aux monographies et aux cours et comme un outil de révision, chaque ouvrage est articulé autour de fiches thématiques permettant de faire le point sur les acquis de la recherche.
Tous les titres sont organisés autour d’une structure commune :
- des repères : un rappel du contexte historique et littéraire.
- les grandes “problématiques”, indispensables à la compréhension des enjeux de l'œuvre.
- le “travail du texte” consacré aux questions de langue, de stylistique et de grammaire.
- des outils méthodologiques, notamment bibliographiques.
- un système de circulation entre les fiches et les références bibliographiques.
Fiche technique
- Référence
- 460291
- ISBN
- 9782350302911
- Hauteur :
- 17,8
- Largeur :
- 12 cm
- Nombre de pages :
- 320
INTRODUCTION
REPÈRES
Un poète aux prises avec son temps
Une oeuvre inachevée
La question du genre
PROBLÉMATIQUES
Le théâtre des voix
La muse citadine
Un fourmillant tableau
Conclusion
LE TRAVAIL DU TEXTE
Lexicologie
Morphosyntaxe
Éléments de stylistique
OUTILS
Repères biographiques
Biographie
Glossaire
Violaine Boneu est agrégée de Lettres classiques et docteur ès Lettres.
Sandrine Bédouret-Larraburu est maître de conférences à l'université de Pau et des Pays de l'Ardour en linguistique et stylistique.
"Le Spleen de Paris n’existe pas – en tant qu’œuvre achevée, du moins, et construite par l’auteur. Baudelaire est mort, le 31 août 1867, avant d’avoir pu mener à bien ce livre auquel il travaillait depuis plus de dix ans. Nous devons à ses amis, Théodore de Banville et Charles Asselineau, d’avoir établi, en 1869, la première édition posthume des cinquante textes rassemblés sous ce titre aujourd’hui. Même inachevé et fragmentaire, ce recueil marque une étape décisive dans l’histoire de la littérature française. Baudelaire redéfinit en effet la poésie en l’affranchissant des règles du vers et de la rhétorique des genres ; il en fait une expérience inquiète du langage, une invention toujours renouvelée des formes, destinée à rendre lisible la vérité profonde d’une expérience subjective."