Les mains libres
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Les mains libres

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Paul Eluard - Man Ray

Par Marie-Annick Gervais-Zaninger

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Clefs-concours

S'adressant à tous les candidats aux concours, en particulier Agrégation et CAPES, Clefs-concours offre une synhtèse par sujet. Conçu comme un repère par rapport aux monographies et aux cours et comme un outil de révision, chaque ouvrage est articulé autour de fiches thématiques permettant de faire le point sur les acquis de la recherche.
Synthèse des travaux les plus récents, Clefs-concours permet de s'orienter dans la bibliographie et de mettre en perspective l'évolution des savoirs.

Clefs-Concours Littérature

Tous les titres sont organisés autour d'une structure commune :
- des repères : un rappel du contexte historique et littéraire et de la génèse de l'oeuvre.
- les grandes thématiques, indispensables à la compréhenssion des enjeux de l'oeuvres.
- des outils méthodologiques, des conseils et des pistes de réflexion.

- annexes, bibliographie et lexique complètent l'ouvrage.

Fiche technique

Référence
460307
ISBN
9782350303079
Hauteur :
17,8
Largeur :
12 cm
Nombre de pages :
224

INTRODUCTION

REPÈRES

Repères biographiques
Repères historiques
Genèse de l'œuvre
Présentation du recueil
Éluard et la peinture
Éluard et Man Ray : regards croisés

THÉMATIQUES

La promotion du désir comme valeur absolue
La femme
Les forces de l'inconscient
Le motif des mains
Le monde des objets
L'espace
Le monde végétal et le bestiaire
Les éléments architecturaux : la maison, le château, la tour, l'esprit de révolte
Le motif du fil , l'exploration du pouvoir du langage dans les mains libres
L'image

OUTILS

Méthodologie de l'exercice
Propositions de sujets sur les mains libres
Fiches méthodologiques
Quelques couples poèmes/images à l'épreuve de l'interprétation
Annexes
Bibliographie
Chronologie
Lexique




Marie-Annick Gervais-Zaninger a assuré la formation professionnelle des enseignants de terminale sur Les mains libres dans plusieurs académies.

"La lecture des poèmes, en regard des images, incite toutefois à s’interroger sur le type d’“illustration” pratiqué. En effet, le lien ne va pas toujours de soi entre le poème et l’illustration : la correspondance annoncée se révèle alors problématique. Ainsi le titre “Le temps qu’il faisait le 14 mars”, inscrit en bas à droite du dessin, n’opère pas un rapprochement évident entre celui-ci et le poème. Le premier représente une tête féminine, rejetée en arrière, soutenue par deux mains fines, avec, à l’arrière-plan, une pierre dressée comme un menhir surmonté d’une masse minérale horizontale (un dolmen ?). Le poème, quant à lui, ne réfère à aucun événement passé (comme le laissait attendre la date), mais constitue l’évocation d’un présent nostalgique du temps de l’enfance."