

Shakespeare, Macbeth
Rousseau, Profession de foi du Vicaire savoyard
Giono, Les Âmes fortes
Par Dominique Carlat, Pierre Crétois, Michèle Narvaez, Madeleine Robert, Michèle Vignaux
France met. & monde : 3€ jusqu'à 25€, 6€ jusqu'à 50€, 9€ jusqu'à 100€, 12€ au-delà 100€ DOM-TOM : 8€
Fiche technique
INTRODUCTION
REPÈRES
LES OEUVRES
Shakespeare, Macbeth
Rousseau, Profession de foi du Vicaire savoyard
Giono, Les âmes fortes
UN THÈME À TRAVERS TROIS OEUVRES
OUTILS
Resituer
Parcourir
Se rappeler
Comprendre
Restituer
Dominique Carlat est ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure (Ulm), agrégé de Lettres Modernes, professeur de Littérature française moderne et contemporaine à l'université Lyon 2.
Pierre Crétois est agrégé de philosophie, doctorant en philosophie de l'Université mixte de recherche LIRE (CNRS-université Lyon 2)
Michèle Narvaez est ancienne élève de 'lEcole Normale Supérieure de Sèvres, agrégée de Lettres, professeur de chaire supérieure en classes préparatoires aux grandes écoles scientifiques au lycée L Martinière-Monplaisir de Lyon.
Madeleine Robert est ancienne élève de l'Ecole Normale Supérieure de Fontenay-Saint-Cloud, agrégée de Lettres Modernes et titulaire d'un DEA.
Michèle Vignaux est ancienne élève de l'Ecole Normale Supérieure (Ulm-Sèvres), agrégée d'Anglais, et professeur d'études élisabéthaines à l'université Lumière Lyon 2.
"Le mal nous entoure, il est visible, on peut l’évaluer, le quantifier : un juge par exemple calcule la hauteur des “indemnités” qu’une victime touchera pour un mal subi, ou le nombre de mois de prison que devra effectuer un coupable. De même, on évalue financièrement des “dommages”, en cas de catastrophe naturelle. Même s’il ne nous affecte pas sur le moment, il pèse sur nous comme une menace invisible, une “épée de Damoclès” ; bien sûr, nous tentons de le conjurer en permanence par des conduites magiques, superstitieuses, dont rend compte le langage quotidien, chargé d’expressions vouées à nous préserver en toute occasion des atteintes les plus diverses à notre bien-être ou à notre équilibre : santé, prospérité, bonne chance, longue vie, pourvu que ça dure, je touche du bois…, nous disons-nous dans toutes les langues, en sachant que le pire est hélas souvent le plus probable."