Sans Toit ni Loi - Agnès Varda
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Agnès Varda

18,01 €

Sans toit ni loi (1985)

Par René Prédal

 

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Clefs concours Cinéma
Tous les titres sont organisés autour d’une structure commune :
- des repères : un rappel du contexte intellectuel et esthétique.
- les grandes “problématiques”, indispensables à la compréhension des enjeux de l'œuvre.
- des outils méthodologiques : chronologie, glossaire, plan de l’œuvre,  bibliographie.
- un système de circulation entre les fiches et les références bibliographiques.
 

Fiche technique

Référence
453270
ISBN
9782912232700
Hauteur :
17,8
Largeur :
12 cm
Nombre de pages :
128
Reliure :
broché

INTRODUCTION

PROLOGUE

REPÈRES: UN CINÉASTE EN MARGE DU CINÉMA FRANÇAIS

Les étapes fondatrices d'un regard de cinéaste
Agnès Varda et la Nouvelle Vague
La pointe courte
Jacques Demy
Cléo de 5 à 7
Une œuvre sans concession

PROBLÉMATIQUES: UN FILM PORTRAIT, LIBERTÉ ET SOLITUDE

Mona, celle qui dit non
Le personnage, son modèle, son créateur, son interprète
La femme, la cinéaste et le féminisme
Le rapport au réel
Le portrait impossible d'une inconnue et la place du spectateur

LA CINÉCRITURE : LE RÉCIT ET LA MÉTHODE VARDA

Nathalie Sarraute
Cinécrire
Tourner au point de suture entre les méthodes du "direct" et celles de la fiction
Récit, témoignages et instances narratives
Les douze travellings
Les codes de la représentation
 

BIBLIOGRAPHIE

GLOSSAIRE

PHOTOGRAPHIES

René Prédal est professeur émérite d'Études cinématographiques à l'université de Caen.

"La communication esthétique instaurée par la mise en scène dans Sans Toit ni Loi permet de mieux regarder l'autre et de se (re)connaître soi-même dans un double-mouvement d'observation et d'introspection caractéristique du cinéma de Varda qui, avec pourtant une simplicité, une liberté et un naturel confondants, parvient à faire jouer les mécanismes les plus délicats de la représentation. Sans Toit ni Loi nous apprend peut-être autant sur nous que sur son auteur, et sur le cinéma que sur les sans-logis. Mais c'est un apport sensible davantage qu'un savoir conceptuel et il résulte d'un plaisir plutôt que d'un travail. Sans doute est-ce parce que la réalisatrice maîtrise harmonieusement un art du portrait comme du récit nourri aux sources classiques des beaux-arts puis revu à l'aune d'une modernité cinématographique adaptée à une subjectivité généreuse."