Agnès Varda
Sans toit ni loi (1985)
Par René Prédal
France met. & monde : 3€ jusqu'à 25€, 6€ jusqu'à 50€, 9€ jusqu'à 100€, 12€ au-delà 100€ DOM-TOM : 8€
Tous les titres sont organisés autour d’une structure commune :
- des repères : un rappel du contexte intellectuel et esthétique.
- les grandes “problématiques”, indispensables à la compréhension des enjeux de l'œuvre.
- des outils méthodologiques : chronologie, glossaire, plan de l’œuvre, bibliographie.
- un système de circulation entre les fiches et les références bibliographiques.
Fiche technique
- Référence
- 453270
- ISBN
- 9782912232700
- Hauteur :
- 17,8
- Largeur :
- 12 cm
- Nombre de pages :
- 128
- Reliure :
- broché
INTRODUCTION
PROLOGUE
REPÈRES: UN CINÉASTE EN MARGE DU CINÉMA FRANÇAIS
Les étapes fondatrices d'un regard de cinéaste
Agnès Varda et la Nouvelle Vague
La pointe courte
Jacques Demy
Cléo de 5 à 7
Une œuvre sans concession
PROBLÉMATIQUES: UN FILM PORTRAIT, LIBERTÉ ET SOLITUDE
Mona, celle qui dit non
Le personnage, son modèle, son créateur, son interprète
La femme, la cinéaste et le féminisme
Le rapport au réel
Le portrait impossible d'une inconnue et la place du spectateur
LA CINÉCRITURE : LE RÉCIT ET LA MÉTHODE VARDA
Nathalie SarrauteCinécrireTourner au point de suture entre les méthodes du "direct" et celles de la fiction
Récit, témoignages et instances narratives
Les douze travellings
Les codes de la représentation
BIBLIOGRAPHIE
GLOSSAIRE
PHOTOGRAPHIES
"La communication esthétique instaurée par la mise en scène dans Sans Toit ni Loi permet de mieux regarder l'autre et de se (re)connaître soi-même dans un double-mouvement d'observation et d'introspection caractéristique du cinéma de Varda qui, avec pourtant une simplicité, une liberté et un naturel confondants, parvient à faire jouer les mécanismes les plus délicats de la représentation. Sans Toit ni Loi nous apprend peut-être autant sur nous que sur son auteur, et sur le cinéma que sur les sans-logis. Mais c'est un apport sensible davantage qu'un savoir conceptuel et il résulte d'un plaisir plutôt que d'un travail. Sans doute est-ce parce que la réalisatrice maîtrise harmonieusement un art du portrait comme du récit nourri aux sources classiques des beaux-arts puis revu à l'aune d'une modernité cinématographique adaptée à une subjectivité généreuse."